Cinq communes équipées par Ligeo Basics

Après les services d’archives des communes de La Teste de Buch et de Fontainebleau en début d’année 2015, ont suivi les villes de Clermont-Ferrand, Vélizy-Villacoublay et Bressuire qui se sont équipées de la solution Ligeo Basics.

Première citée, la capitale auvergnate avait pour objectif de s’équiper rapidement d’un logiciel permettant de collecter, conserver, classer et communiquer ses archives physiques et de s’interfacer simplement avec un système d’archivage électronique. Du fait de la facilité de mise en oeuvre de la solution Ligeo Basics, ce projet a pu être mené à bien en seulement quelques semaines.

Vélizy-Villacoublay et Bressuire viennent eux aussi de choisir ce même outil dont la mise en place devrait débuter prochainement.

Ligeo continue sa progression outre-mer

Après le Gouvernement de Nouvelle-Calédonie l’an dernier, c’est au tour de la région Guadeloupe d’adopter Ligeo pour la gestion de ses archives, soit 1,5 kilomètre linéaire jusqu’alors géré à l’aide d’un tableur.

Équipé par Ligeo Gestion depuis 2012, le Conseil régional de La Réunion souhaitait quant à lui s’orienter vers une solution mixte lui permettant de gérer ses archives physiques et électroniques. Dans ce cadre, son service d’archives a fait le choix de travailler avec l’Adullact Projet, association avec laquelle nous avons noué un partenariat permettant une interconnexion entre notre logiciel métier et son système d’archivage électronique as@lae.

Une grande première

Ligeo Gestion a, en effet, été retenu par les quatre entités qui constituent les services d’archives de l’Institut d’études politiques de Paris (Sciences Po) (la Mission Archives, le Centre de recherches politiques de Sciences Po, le Centre d'histoire de Sciences Po et le Centre de données socio-politiques).
Ce projet doit permettre, à terme, de doter l’institution d’une fonction “archives” professionnelle et de rationaliser la gestion de ses archives grâce à la mutualisation des outils.

Enfin, la communauté Ligeo a eu le plaisir d’accueillir un nouveau bailleur social, après l’Opac38 : Habitat76. Le premier office public de l’habitat de Seine-Maritime souhaitait remplacer ses outils existants afin de gérer l’ensemble des archives physiques au sein d’un logiciel parfaitement adapté à la gestion de ses 17 000 boîtes.

Et l'année n'est pas finie...